Trois fois Axelle

Comédie puzzle pour 2F/2H

Entre divorce, vente immobilière et révélations : Axelle face à elle-même

Accordez-nous moins d’une heure de lecture et plongez votre public dans une comédie dramatique mêlant introspection et humour subtil (même si vous avez peu de moyens).


Trois pièces en une…


Avant de vous en dire plus, on a 3 questions rapides à vous poser :

🆘 Vous ne voulez pas d’une pièce où les personnages sont des fantoches ?
🆘 Vous fuyez les pièces à la construction classique ?
🆘 Vous n’appréciez pas les textes qui sont de simples divertissements ?

Si vous avez répondu oui à au moins deux questions, alors lisez vite ce qui suit !


Résumé :

Axelle décide de vendre la maison qu’elle partageait avec Richard, son mari, alors qu’ils entament une procédure de divorce. Mais cette vente devient bien plus compliquée que prévu, entre les interventions imprévues de sa fille Faustine, aux choix de vie déroutants, et l’arrivée de Jimmy, un acheteur au passé intriguant. À mesure que les tensions montent et que les vérités éclatent, chaque personnage devra faire face à ses contradictions dans un huis clos captivant.


En accédant au texte intégral de Trois fois Axelle, vous obtiendrez un fichier PDF de 65 pages pour un poids ultra-réduit de 406 Ko, téléchargeable sur votre ordinateur, votre tablette, votre téléphone, et imprimable sur n’importe quel support. La mise en page vous permettra de noter sur le texte toutes les indications et notes de régie que vous jugerez utiles.


Avec « Trois fois Axelle », vous découvrirez :

✅ Une comédie dramatique riche en émotions : des dialogues incisifs et des moments poignants qui captivent le public.
✅ Des personnages complexes et attachants, permettant aux interprètes de toucher le public.
✅ Un décor simple mais significatif : une maison au cœur des enjeux, idéale pour un montage rapide.
✅ Une intrigue universelle : des thèmes comme le divorce, les choix de vie et les relations familiales, qui parlent à tous.
✅ Une construction originale propre à surprendre le public : trois scènes successives sont données à voir simultanément.
✅ Un texte qui explore la résilience, le renouveau et l’acceptation de soi et donne au public à réfléchir.


Intéressé(e) ? 

Téléchargez gratuitement le texte intégral de Trois fois Axelle

et laissez votre public découvrir une pièce qui mêle humour, tensions et introspection avec brio.

Attention : déconseillé aux compagnies qui n’aiment que les pièces traditionnelles.


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Questions fréquentes sur Trois Fois Axelle

Est-ce une comédie ou un drame ?

Les deux. Trois fois Axelle explore les zones grises entre le rire et la douleur. L’humour y naît de la lucidité, des maladresses humaines et des petits écarts du quotidien face à la séparation.

Faut-il une mise en scène complexe pour représenter les trois “versions” d’Axelle ?

Le dispositif repose sur un jeu d’espace et de lumière plus que sur des décors multiples. Il suffit de trois aires de jeu symboliques, ce qui rend la pièce idéale pour les troupes amateures.

À quel public cette pièce s’adresse-t-elle ?

À ceux qui aiment les histoires vraies, contemporaines, où l’on rit pour ne pas pleurer. Trois fois Axelle touche un large public : couples, familles, spectateurs sensibles aux questionnements intérieurs

Quel est le sens du titre Trois fois Axelle ?

Il renvoie à la structure du texte : trois scènes qui se déroulent simultanément, chacune montrant une facette d’Axelle à un moment charnière de sa vie. Trois miroirs pour un même personnage en quête d’unité.


Extrait de Trois Fois Axelle

Personnages

AXELLE.

FAUSTINE, sa fille.

RICHARD, mari d’Axelle.

JIMMY.

 

Lieu

La maison d’Axelle et Richard.

AXELLEentrant, au téléphone. Il refait un tour. Il voulait voir… je sais pas quoi. Je la sens pas, cette visite. En ce moment, je foire tout. (Un temps.) Je t’assure : la villa avec piscine, c’est Marc qui l’a vendue… (Temps court.) Si, c’est encore lui ! Ce gros lard… Le studio entièrement refait en centre ville : Samantha ! (Un temps court.) Samantha ! Je peux plus l’encadrer, cette pouf… (Un temps.) La chaumière ? Ils veulent plus vendre. (Un temps.) Mais si, justement, c’est ma faute ! La seule fois où je l’ai fait visiter, j’ai été tellement négative ils veulent refaire la déco, les fenêtres et la fosse sceptique ! (Un temps court.) Des vieux cons, je te dis…

FAUSTINEentrant, trempée, au téléphone. Je sais pas, y a personne. 

AXELLEau téléphone. Au fait, je t’ai pas dit ?

FAUSTINEidem. Si, elle devrait être là. (Un temps.) Allô ? 

AXELLEid. Il a viré toutes les annonces. (Un temps.) Celle de l’agence aussi. Il a appelé, il a fait toute une histoire…

FAUSTINEid. Oui je sais. Si tu crois que c’est simple…

AXELLEid. Je comprends pas, on était d’accord. 

FAUSTINEid. On est d’accord. 

AXELLEid. Eh ben alors ?

FAUSTINEid. Entre le dire et le faire…

AXELLEid. Des excuses, toujours des excuses…

FAUSTINEid. Allô ? (Un temps.) Je vais lui dire ! Et en même temps j’aime pas ça…

AXELLEid. En plus, dans la chambre du fond, y a cette fenêtre qui ferme mal, et dans la salle de bain, je crois qu’on a une fuite. 

FAUSTINEid. Tout se brouille, j’y vois plus clair…

AXELLEid. Le navire prend l’eau. 

FAUSTINEid. Allô ? Allô ? (Elle décolle le téléphone de son oreille et appuie dessus.)

AXELLEid. Je te rappelle. (Elle décolle le téléphone de son oreille et appuie dessus.)

FAUSTINEid. T’es toujours là ?

AXELLEid. Oui maman. 

FAUSTINEid. Je sais pas trop comment…

AXELLEid. Ça va, ne t’inquiète pas. (Un temps.) Chez une copine. (Un temps.) Chez un copain. (Un temps.) Chez son copain. 

FAUSTINEid. Ok, ok… Bon… Je veux lui annoncer. 

AXELLEid. Non, non, c’est pas une bonne idée. T’as tes habitudes, j’ai les miennes…

FAUSTINEid. J’ai peur… peur qu’elle le prenne mal. 

AXELLEid. On en a déjà parlé. 

FAUSTINEid. C’est une croyance bloquante, oui. (Un temps.) C’est une croyance bloquante parce que… parce que j’intériorise ses craintes potentielles…

AXELLEid. Je voudrais venir plus souvent ! Mais avec le boulot… Et puis en ce moment…

FAUSTINEid. Ok. (Un temps.) Elle le prendra bien. Elle me dira : « bonne idée. » Elle comprendra.

AXELLEid. Arrête de pleurer… C’est ma vie, c’est mon choix…

FAUSTINEid. « J’accepte ma responsabilité. »

AXELLEid. Je dois raccrocher, maman, j’ai une visite… Oui, oui… (Elle raccroche. Elle est défaite et reste perdue dans ses pensées.)

FAUSTINEid. « Je vis le moment présent. » 

RICHARDentrant, au téléphone. Tout le côté droit. L’aile avant, les portières…

FAUSTINEau téléphone. « J’ai foi en mon dieu intérieur. »  

RICHARDidem. Il avait la prio, mais pas ses anti-brouillard. Il a déboulé comme un malade…

FAUSTINEid. « Dieu est partout. » 

RICHARDid. Mais c’est pas pour ça que je… Hein ? (Un temps.) Oui, je l’ai signé, son putain de papier. 

FAUSTINEid. « Dieu est en moi. » 

RICHARDid. Je sais plus comment elle appelle ça… La « convention ». 

FAUSTINEid. Je me sens mieux.  

RICHARDid. Je vais pas lui donner. Enfin, pas comme ça. 

FAUSTINEid. Je suis toujours toute seule. 

RICHARDid. On n’était plus un couple. On était devenu… de simples gestionnaires. 

AXELLEde nouveau au téléphone. Allô M. Zambeaux ? Axelle Girard, Sporting immo. Comment allez-vous ?

RICHARDid. Les gestionnaires de nos ressources communes. 

AXELLEid. Je vous appelais à propos de votre projet de vente. (Temps court.) Vous hésitez encore ?

FAUSTINEid. « Sois le maître de ta vie, tu vivras en harmonie ». 

AXELLEid. N’hésitez plus : ça repart ! 

RICHARDid. Elle a pris la bonne décision. 

AXELLEid. Il faut saisir l’occasion.

FAUSTINEid. « Sois le maître de ta vie, tu vivras en harmonie ». 

RICHARDid. Mais ça me fait tellement chier… 

AXELLEid. Bravo M. Zambeaux ! Vous avez fait le bon choix !

FAUSTINEid. « Sois le maître de ta vie, tu vivras en harmonie ». 

AXELLEid. On pourrait faire le point à l’agence vers 10h ? Oui, demain, demain jeudi ! Parfait, à demain ! (Elle raccroche, puis appuie sur quelques boutons.)

RICHARDid. T’as raison, je me suis mis en position de perdant…

FAUSTINEid. Merci. J’y vois plus clair. 

RICHARDid. Ce divorce, c’est son idée… 

AXELLEid. Je peux savoir ce qui s’est passé avec l’annonce ?

RICHARDid. Non, non, c’est une bonne idée… mais finalement… cette idée… c’est pas encore la mienne…

AXELLEid. Elle m’a raconté. Elle est en stage, elle a pas à prendre ce genre d’initiatives. 

FAUSTINEid. Je te rappelle. (Elle raccroche, s’assoit en position du lotus et ferme les yeux.)

RICHARDid. Quoi ? (Un temps.) Non, vas-y !

AXELLEid. Richard est d’accord, il nous a signé un mandat. 

RICHARDid. Mais vas-y, je t’appelle pour ça !

AXELLEid. Primo, tu remets l’annonce en ligne tout de suite. 

RICHARDid. Un « looser » ? (Un temps.) T’abuses un peu, là…

AXELLEid. Deuxio, tu romps tout de suite le stage de Lila.  

RICHARDid. Je t’ai appelé pour ça mais quand même ! Un « looser » ? 

AXELLEid. Ça n’a rien de personnel. 

RICHARDid. Tu sais combien de projets je drive, en ce moment ?

AXELLEid. C’est pas la question.

RICHARDid. Je le prends pas mal, mais…

AXELLEid. Y a pas de « mais » : tu romps tout de suite le stage de Lila.  

RICHARDid. Ah ok… C’est clair… Au taf, un winner, mais à la maison un… ça va j’ai compris !

AXELLEid. J’ai écouté ton avis, mais c’est moi qui prends la décision. 

RICHARDid. Bon ben… merci…

AXELLEid. Au fait, demain 10h, j’ai rendez-vous avec Zambeaux. 

RICHARDid. T’inquiète, ça va aller. Je te rappelle asap. (Il coupe son téléphone et reste méditatif.)

AXELLEid. Ouais, je l’ai décidé ! Bye ! (Elle coupe son téléphone.)

RICHARD. Un looser… (Il fouille, sort un papier et le relit.)

AXELLE. Bon. La fenêtre, c’est pas un drame, et la fuite, c’est l’affaire d’un coup de fil ! (Elle regarde autour d’elle.) On a quand même su en faire quelque chose… (Voyant Faustine.) Bonjour, Titine.

FAUSTINEsursautant. M’appelle pas comme ça. 

AXELLE. Tu cherches quoi ?

RICHARD. Je t’avais pas vue. 

AXELLE. Qu’est-ce que tu fais là ? 

RICHARD. J’ai à te parler. 

FAUSTINE. Faut que je te parle.

JIMMY, entrant. On est à combien du cinéma le plus proche ?

AXELLE. Euh… je ne sais pas …

RICHARD. J’aimerais te faire un feed-back sur…

JIMMY. Et un théâtre ? Y a un théâtre pas loin ? Ma femme adore sortir.

FAUSTINE. Je suis trempée. Avec ce déluge…

AXELLE. Tu veux une serviette ?

RICHARD. J’ai réfléchi, cette convention…

FAUSTINE. Maman, j’ai une mauvaise nouvelle. 

JIMMY. La taxe d’habitation est à combien, déjà ? 

AXELLE. Euh… je ne sais plus… c’est pas sur la fiche ? (Elle le heurte.) Pardon. 

FAUSTINE. J’ai quelque chose à t’annoncer. 

AXELLE. T’appelles l’agence, tu demandes à la stagiaire de retirer l’annonce, c’est quoi le problème ?

RICHARD. Tout ça va un peu vite pour moi…

JIMMY. C’est très lumineux finalement. 

AXELLE. Ne croyez pas ça. L’après-midi, c’est une vraie tombe. Et encore, aujourd’hui il fait grand soleil. (Elle le heurte.) Désolée. 

FAUSTINE. Martin et moi on se sépare. 

AXELLE. On divorce, non ?

FAUSTINE. C’est moi qui… je m’en vais. 

AXELLE. Qu’est-ce qui se passe ?

JIMMY. Une tombe, une tombe… vous exagérez un peu. 

FAUSTINE. On voit plus les choses de la même façon. 

AXELLE. T’es sûre de ce que tu fais ?

RICHARD. Oui je t’ai dit que j’étais OK pour vendre, oui je vous ai signé un mandat pour l’agence, oui je t’ai donné le feu vert pour démarrer les visites, oui vous aviez le droit de mettre une annonce, mais… 

AXELLE. Vous avez tout traversé à deux : votre brevet, votre bac, la licence… vous êtes ensemble depuis dix ans !

RICHARD. … on est marié depuis dix ans…

JIMMY. On n’entend pas les voisins. 

AXELLE. Détrompez-vous ! Entre Audrey et ses deux mômes qui piaillent sans arrêt, Georges qui travaille son tuba tous les soirs, Renée qui fait hurler sa télé dès dix-sept heures…

FAUSTINE. Il reste dans le matériel. Moi j’ai besoin de quelque chose de plus spirituel. 

RICHARD. Pourtant je crois que c’est ce qu’il faut faire mais… 

JIMMY. J’aime l’animation.  

AXELLE. T’as changé depuis quelques temps. Beaucoup changé. 

FAUSTINE. Tu dis ça parce que tu me vois sur un seul plan. On vit sur plusieurs plans.

AXELLE. Vangelis ?

FAUSTINE. Commence pas…

RICHARD. Je sais pas si je suis prêt. 

AXELLE. Et la convention ? ça fait quinze jours que tu dois la signer, la convention !

RICHARD. C’est vrai…

AXELLE. C’est bien joli de faire visiter la maison, mais ça serait bien d’avoir un document disant clairement et noir sur blanc qu’on la vend !

JIMMY. En tout cas la vue est dégagée. 

AXELLE. Pas pour longtemps. (Elle le heurte.) Pardon.

RICHARD. Excuse-moi… 

JIMMY. Excusez-moi ?

AXELLE. Pardon ?

JIMMY. Vous avez dit « Pas pour longtemps. »

AXELLE. Vous en avez parlé ? Je veux dire… discuté, tous les deux ? 

FAUSTINE. J’ai pris la décision. 

AXELLE. Si je comprends bien, ça se passe à la schlag ?

RICHARD. Voilà la convention.  

AXELLE. En face, ils vont construire un centre de retraitement de déchets, alors la vue dégagée…

JIMMY. J’ai rarement rencontré une vendeuse aussi… aussi directe…

FAUSTINE. Parce que toi, ton divorce avec Richard, ça se passe pas à la schlag ?

AXELLE. C’est ma maison… enfin, notre maison, à moi et à mon mari… enfin… à moi et à mon ex-mari… enfin… nous allons divorcer… enfin, nous sommes en train…

RICHARD. Je l’ai signée. 

FAUSTINE. Je rêve où tu forces un peu les choses ?

AXELLE. Merci. 

JIMMY. Vous voulez vendre, vous êtes sûre ?

RICHARD. Non.

AXELLE. Quoi, non ?

RICHARD. Je vais pas te la donner. 

AXELLE. Faut pas se le cacher, le bateau coule… 

JIMMY. Vous la vendez combien ?

AXELLE. C’est pas sur la fiche ?

JIMMY. Y a rien sur votre fiche. 

AXELLE. Qu’est-ce qui te prend ?

FAUSTINE. Maman ?

JIMMY. Combien ?

AXELLE. 300 000. 

RICHARD. Je veux qu’on change de process. 

AXELLE. Non, attendez, je me suis trompée. 400 000. 

JIMMY. 400 000 ? Vous êtes sûre ? Sûre, sûre ?

AXELLE. Euh… oui, oui ! (Elle le heurte.) Pardon, pardon, pardon !

RICHARD. Je veux que tu m’expliques. 

AXELLE. Tu m’avais dit que t’étais d’accord, ça fait quinze jours que j’attends ce putain de papier, et maintenant tu me dis…

JIMMY. J’ai jamais vu une visite comme ça…

FAUSTINE. Tu veux plus me parler ?

JIMMY. Pourtant vous êtes une vendeuse pro, non ?

AXELLE. Un jour c’est oui, un jour c’est non, comment tu veux que je m’y retrouve…

RICHARD. On est encore mari et femme, non ? J’ai bien le droit de discuter avec ma femme ? 

AXELLE. Écoute…

JIMMY. je vous ai vue, je crois, à Sporting immo… 

RICHARD. Tu peux pas juste dire « Bonjour chéri, j’ai réfléchi, on divorce, alors tu me signes un mandat pour la maison, l’agence va s’en occuper…

AXELLE. Richard, je…

RICHARD. Tu me signes aussi la convention préparée par Me Moro-Giafferri et rendez-vous au tribunal ! »

JIMMY. Visiblement, c’est un peu compliqué…

AXELLE. En ce moment, c’est loin d’être simple…

RICHARD. « Ah, j’oubliais, chéri : et surtout ta gueule ! »

FAUSTINE. Tu fais la gueule ?

RICHARD. « Mais alors, chéri… hermétique, hein, ta gueule ! »

AXELLE. En ce moment, je foire tout…

RICHARD. Un divorce, ça ne se fait pas au bulldozer !

JIMMY On va se calmer… Un divorce… c’est jamais facile. 

FAUSTINE. C’est drôle… 

JIMMY Une vente immobilière, c’est toujours un peu spécial… C’est pas à vous que je vais apprendre ça.  

FAUSTINE. Y a dix ans, tu rencontrais Richard…

RICHARD. Un bulldozer.

FAUSTINE. Moi, Martin… On était en Sixième !

RICHARD. Un bulldozer sans conducteur. 

JIMMY Des visites, j’en ai fait. On met pas seulement les pieds chez quelqu’un, on met les pieds dans la vie de quelqu’un.

FAUSTINE. Et aujourd’hui, ciao tout le monde. 

RICHARD. Axelle ?

***

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