Comédie chorale pour 12, distribution modulable
Et si les vrais rebondissements d’un spectacle se jouaient… derrière le rideau ? Accordez-nous moins d’une heure vingt de lecture et plongez votre public dans une comédie de troupe vive, tendre et jubilatoire — des auditions au trac de la première, entre Paris et une grange en Aveyron.
Créée sur scène en 2025 !
Avant de vous en dire plus, on a 3 questions rapides à vous poser :
🆘 Vous en avez assez des comédies qui ridiculisent leurs personnages de bout en bout ?
🆘 Vous redoutez les pièces à décors coûteux ou compliqués ?
🆘 Vous trouvez frustrant de ne pas pouvoir donner un vrai rôle à chaque membre de votre troupe ?
Si vous avez répondu oui à au moins deux questions, alors lisez vite ce qui suit !
Voici le résumé du Bruit des coulisses
Rose, metteuse en scène, convainc un producteur en difficulté de lancer un Dom Juan hors cadre : rassembler une troupe et répéter dans une grange, loin des formats habituels… et tout filmer pour créer l’engouement (ou assumer le naufrage). Auditions foldingues, egos cabossés, orage carabiné, vaches, live avant la première : la mécanique du plateau se dérègle — jusqu’à ce que la troupe retrouve l’essentiel : la sincérité et… le fameux bruit des coulisses.
En accédant au texte intégral de Le Bruit des coulisses
Vous obtiendrez un fichier PDF d’environ 900 ko, téléchargeable (ordinateur, tablette, téléphone) et imprimable. La mise en page permet d’annoter directement vos indications de régie et vos choix de mise en scène.
Avec Le Bruit des coulisses, vous offrez à votre troupe et à votre public :
✅ Des rôles qui valorisent chaque comédien : 12 personnages bien typés, chacun avec sa scène marquante, pour que personne ne reste en arrière-plan et que le public retienne toutes les interprétations.
✅ Une mise en scène simple à mettre en place : un bureau et une grange suffisent, ce qui réduit vos coûts, facilite les déplacements et rend le spectacle jouable partout (même en festival ou en salle polyvalente).
✅ Un rythme qui tient le public en haleine : auditions, répétitions, imprévus climatiques et compte à rebours jusqu’à la première… votre audience reste accrochée du début à la fin.
✅ Un sujet actuel qui parle à tous : communication sur les réseaux, transparence des coulisses, rapports humains dans une troupe — des thèmes que vos spectateurs reconnaîtront et savoureront.
✅ Des situations comiques inoubliables : fuites dans la grange, improvisations de secours, utilisation improbable… des vaches comme figurantes ! Des images qui déclenchent les rires et restent en mémoire.
✅ Un final qui marque les esprits : un moment d’émotion où le public partage le frisson d’avant-scène avec la troupe, en entendant ce fameux « bruit des coulisses ».
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et offrez à votre public l’énergie, l’humour et l’émotion d’un spectacle… où l’aventure humaine est le vrai premier rôle.
Attention : déconseillé aux spectateurs allergiques aux « vrais gens », aux répétitions qui dérapent et aux granges qui fuient.
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Questions fréquentes sur « Le Bruit des coulisses »
Cette comédie convient-elle à une troupe amateur ?
Oui. Le Bruit des coulisses a été pensé pour des troupes amateures ou semi-professionnelles. Sa mise en scène reste simple, les décors sont légers (un bureau et une grange), et chaque personnage dispose d’un vrai rôle à défendre. Aucune logistique complexe : l’énergie de groupe suffit à tout faire vivre.
Combien de personnages compte la pièce ?
La pièce réunit 12 personnages équilibrés entre hommes et femmes. Tous sont utiles à l’intrigue : metteur·se en scène, producteur, comédiens, techniciens… chacun traverse son moment de gloire ou de panique, sans simple silhouette
Peut-on jouer Le Bruit des coulisses dans un espace réduit ou en tournée ?
Oui, sans problème. La pièce a été conçue pour être jouable partout : en salle polyvalente, en festival ou même dans un lieu non théâtral. Les décors tiennent dans un véhicule, les changements se font à vue, et le rythme du texte maintient le public en haleine du début à la fin.
Quels sont les thèmes abordés dans cette comédie ?
Sous son ton comique et chaleureux, Le Bruit des coulisses explore les rapports humains dans une troupe, les égos d’artistes, la communication sur les réseaux et la quête d’authenticité. On rit du théâtre lui-même, mais avec tendresse — et avec ce “bruit des coulisses” que tout public reconnaît.
Extrait du Bruit des coulisses
Personnages
Rose, metteuse en scène.
Eugène, producteur.
Inge
Bernard
Paul
Barbara
Steve
Emmanuel
Anna
Brad
André
Seraphina
Le décor
Le bureau d’Eugène, Paris. La grange d’André, La Rayasse, Aveyron.
1. Le début d’un miracle ?
Dans le bureau d’Eugène.
Rose. —J’ai une intuition. Je sens quelque chose de fort, quelque chose de grand.
Eugène, sans lever les yeux de ses papiers. —C’est ce que tu m’avais dit pour Ein Leben im Gedanken. Vous avez tenu 3 jours et vous vous êtes fait huer tous les soirs.
Rose. —C’était un texte dérangeant. Le public n’était pas prêt…
Eugène. —Mais qui était prêt, hein ? Tu peux me le dire ? Qui était prêt pour voir un biopic sur un philosophe prussien du XVIIIe ? En allemand surtitré ? Pendant trois heures trente ? Sans entracte ? Par des acteurs français non-germanistes ? Qui jouent d’oreille et sans comprendre ce qu’ils disent ? Qui était prêt pour ça ? Le GIGN ?
Rose. —C’était un peu audacieux, j’avoue.
Eugène. —Ce n’était pas de l’audace, c’était de l’inconscience. Je parle aussi pour moi.
Rose. —Eugène, écoute-moi. Cette fois-ci, le projet peut marcher. Mieux, il peut changer les choses.
Eugène, rangeant son bureau et le nettoyant. —Tu veux emmener une poignée d’acteurs à peine connus jouer Dom Juan dans un coin perdu de l’Aveyron. Qui ça va intéresser ?
Rose. —Tout le monde. Ceux qui en ont marre des productions formatées, ceux qui cherchent quelque chose de vrai, d’humain.
Eugène, ironique. —Quelque chose de vrai, d’humain… sur les conquêtes d’un manipulateur misogyne ? Tu me parles bien de gens qui vivent aujourd’hui ?
Rose. —Un manipulateur misogyne… C’est ce que tout une tradition théâtrale dépassée a fait du personnage. Ce n’est pas aussi simple que ça. Don Juan est un homme qui masque sa peur du vide derrière des actes spectaculaires. Il fascine parce qu’il est une contradiction ambulante.
Eugène. —Une contradiction qui pourrait me coûter cher, Rose. Sans parler des risques. Imagine que personne ne vienne. Ou pire, que ça fasse un bad buzz sur les réseaux.
Rose. —Justement ! On n’attendra rien d’une compagnie comme la nôtre, une compagnie qui n’existe pas encore, une compagnie à constituer, une compagnie faite de quasi-inconnus. On peut surprendre. Tu sais quoi, Eugène ? Ta peur, c’est la même que celle de Don Juan. Tu affiches un air dur, mais toi aussi, comme ce grand seigneur, tu as peur de l’inconnu.
Eugène est déstabilisé par cette réplique mais n’en montre rien. Son téléphone vibre. Il l’asperge d’un jet de gel hydroalcoolique et répond d’un ton sec.
Eugène. —Oui ? (Il écoute. Une pause. Puis il pâlit.) Attendez… je ne suis pas sûr de… Non, non, ce n’est pas possible… Comment ça, tout est arrêté ?… Et les fonds ?… D’accord, oui. Je vais gérer.
(Il raccroche lentement et reste figé. Rose l’observe.)
Rose. —Eugène, ça va ?
Eugène, riant nerveusement. —Oui, tout va bien. La comédie musicale que je viens de monter…
Rose. —« La Mélodie des Illusions » ?
Eugène. —Voilà. Terminé. L’argent envolé. Je suis foutu.
Rose. —Alors, fais quelque chose qui a du sens. Investis dans Dom Juan.
Eugène, sarcastique. —Ah oui, super idée. Ce qu’il me reste, je le mets dans ton projet. Et si on échoue ?
Rose. —Et si on réussit ? Eugène, tu n’as plus rien à perdre, mais tu peux encore tout gagner.
Eugène hésite. Il regarde Rose, puis son bureau, et enfin par la fenêtre. L’attente est palpable.
Eugène. —D’accord. On le fait.
Rose —Quoi ?
Eugène. —Je produis ton Dom Juan. Mais à une condition : on publie tout sur les réseaux. Les répétitions, les coulisses, les disputes. Tout. Si ça marche, on crée un engouement. Si on se plante, on fait parler.
Rose, serrant les dents. —Eugène… tu espères faire de l’argent sur un naufrage ?
Eugène. —Je veux rester debout, Rose.
Rose. —Très bien. Mais je te préviens : tu ne pourras pas contrôler ce qui va se passer. Quand on part à la recherche de la vérité, on ne sait pas ce qu’on va trouver.
Eugène, tapant à l’ordinateur après l’avoir aspergé de gel. —« Recherche comédiens et comédiennes pour un projet théâtral audacieux. Une occasion unique d’expérimenter et de se faire connaître grâce à une large visibilité en ligne. »
Rose. —« Se faire connaître » ? Ce n’est pas une émission de télé-réalité, Eugène. Parle d’un projet humain, artistique. Quelque chose qui a du sens.
Eugène, tapant. —« Nous recherchons des talents passionnés pour un projet audacieux mêlant théâtre classique et modernité. Une expérience humaine forte, portée par une visibilité inédite sur les réseaux sociaux. »
Rose, dictant à Eugène, qui tape selon les indications de Rose. — »Un projet collectif où chacun pourra exprimer sa singularité ». (Lisant par-dessus l’épaule d’Eugène.) Voilà.
Eugène. —Qui aurait cru qu’on arriverait à s’entendre ?
Rose. —C’est le début d’un miracle, Eugène. Profites-en.
Eugène. —On verra bien.
Rose. —Tu verras surtout ce que ça veut dire d’avoir foi en un projet. Et en des gens.
Rose sort du bureau. Eugène reste seul, le regard perdu, mais une étincelle de défi dans les yeux.
2. Un cocktail détonnant
Rose et Eugène font passer des auditions. Inge entre.
Inge, accent allemand. —« Vous avez… trahi votre parole… et détruit mon… mon cœur. » (Elle s’arrête, visiblement nerveuse.)
Rose. —Vous pouvez recommencer, si vous voulez.
Inge, plus affirmée. —« Sie haben trahi votre parole et détruit mein Herz. »
Eugène. —Elle aurait dû auditionner pour Ein Leben in Gedanken.
Rose. —Elle dégage quelque chose.
Eugène. —Si seulement elle pouvait dégager tout court…
Plus tard : Bernard.
Rose. —Comment vous appelez-vous ?
Bernard. — Bernard.
Rose. —Qu’est-ce qui vous a poussé à venir ?
Bernard. — Je travaille à la mairie, et l’autre jour, en enlevant des vieilles affiches sur le panneau d’affichage en bas, je suis tombé sur une annonce. Ça parlait d’une troupe de théâtre qui cherchait des gens, même sans expérience. Je me suis dit : tiens, c’est peut-être pour moi ! Ma mère a toujours dit que j’étais l’artiste de la famille, parce que je faisais rire tout le monde. Alors, pourquoi pas tenter le coup ? Bon, je cherche pas un grand rôle, hein, pas un De Niro ou un mec avec une grande cape et des épées… Juste une petite expérience, un truc à vivre ! Et puis, si vous avez besoin d’un coup de main, je suis toujours avec ma trousse à outils.
Eugène. —Ça tombe bien, on n’avait pas de factotum.
Plus tard : Paul et Barbara.
Rose. —Vous venez pour quel rôle ?
Paul. —Je crois que c’est évident, non ? Don Juan.
Barbara. —Mon fils a toujours eu un talent naturel. Vous allez voir, il est exceptionnel. Depuis tout petit, il a cette présence… Je lui disais souvent : « Paul, tu es né pour être sur scène ».
Eugène. —Madame, peut-être pourriez-vous attendre dans le couloir pendant que votre fils passe son audition ?
Barbara, piquée. —Bien sûr, bien sûr. Je ne veux pas gêner, même si moi aussi, en mon temps… (Elle reste immobile, visiblement réticente à sortir.)
Paul, tendu. —Je vais commencer. (Avec intensité.) « Quoi ? Tu veux qu’on se lie à un seul objet ? »
Barbara, se laissant emporter. —Vous voyez ? Quelle diction ! Quel contrôle respiratoire ! Quelle émotion ! Quel sens du public !
Plus tard : Steve.
Steve. —« Les femmes… les femmes, c’est… c’est moi qui les dirigeons… euh… qui les dirigez… non, dirigeâsse ? »
Eugène. —Un Don Juan qui réinvente la grammaire. Fascinant.
Steve. —J’ai le troc, c’est pour ça. Quand je suis tressé, j’ai le troc. Excusez, je suis en retard, faut que j’y vais. Mais je vous jure que je vais casser la barbaque.
Rose. —C’est intéressant de casser les codes de la langue.
Eugène. —Lui, il va nous faire buzz sur buzz
Plus tard : Emmanuel.
Emmanuel. —Ça va vous paraître un peu osé, peut-être. Pourtant, je me lance : je vois Don Juan comme une fonction. Une fonction exponentielle, qui croît de manière infinie : chaque conquête est un point sur la courbe, mais la courbe ne touche jamais l’axe des sentiments réels. Les femmes qu’il séduit sont des variables. Elles influencent la fonction localement, mais la trajectoire globale reste inchangée. Et Sganarelle ? C’est un simple coefficient. Il module la fonction sans en modifier le principe. Problème : Si à la fin de sa vie, Don Juan a séduit mille et trois femmes, sachant qu’à trente-deux ans il en déjà séduit quatre cents vingt-huit, combien en aura-t-il séduit à trente-sept, étant donné que la progression…
Plus tard : Anna.
Anna. —Excusez-moi si je suis un peu en retard, je n’arrivais pas à trouver le numéro de la salle. Bonjour ! (Elle s’avance en tendant la main et se heurte à une chaise.) Oh pardon, je ne vous avais pas vu. (À Eugène.) Vous êtes la metteuse en scène ? (Eugène fait « non » de la tête et montre Rose.) Ah ! Et voilà l’affiche. J’aime beaucoup : elle correspond tellement à Don Juan. Je commence ?
Rose. —Allez-y.
Anna. —« Ah ! (Entrechat.) Perfide ! (Pirouette.) Est-ce là le gage de votre foi ? » (Elle se penche, comme pour une révérence, manque de tomber) Le sol est un peu penché, non ?
Rose. —Nous avons tous nos penchants et ce sont eux qui nous font.
Plus tard : Brad.
Eugène. —Allez-y.
Brad. —Oui, bien sûr, mais laissez-moi juste vous dire que j’ai une vision très moderne de Sganarelle. Il est comme un influenceur TikTok, vous voyez ? Toujours à disserter, à commenter, à…
Eugène, exaspéré. —Jouez. Maintenant.
Brad. —Bien sûr. Mais laissez-moi juste vous dire une chose que peu de gens savent sur Sganarelle : Molière interprétait lui-même le rôle et le soir de la première, il avait mangé trop de rôti de veau, et au moment d’entrer en scène, Armande Béjart lui dit « écoute Momo… »
Plus tard : Eugène et Rose.
Eugène. —Alors ? Tu crois toujours que ce projet est une bonne idée ?
Rose. —Plus que jamais. Tu sais, Eugène, ce qui compte, ce n’est pas d’être parfait. C’est d’être sincère.
Eugène. —Sincère ? Avec un influenceur raté, une danseuse myope, un Don Juan matheux et un grammairien autodidacte ?
Rose. —Exactement. Un cocktail détonnant et inouï.
Rose laisse Eugène dubitatif.
3. Bienvenue à La Rayasse
La grange d’André, La Rayasse. André inspecte le lieu. Séraphina, yeux clos, est en position du lotus. Bruit d’autobus qui arrive, s’arrête, repart. Arrivent Rose, Bernard, Eugène, Anna, Inge, Brad, Paul, Emmanuel, Steve.
André. —Ah ! Les gens de la ville ! Bienvenue à La Rayasse ! Voici votre nouveau terrain de jeu. Mais attention, tout reste à sa place !
Rose. —Merci de nous accueillir, André.
André. —Avec plaisir. Par contre, si je pouvais avoir le premier loyer…
Rose, bas. —Vois avec Eugène. (Haut ) Je vous présente André, qui nous prête sa grange pour les répétitions et les représentations.
Eugène. —Les représentations ? Tu espères qu’il y en aura plusieurs ?
On dit bonjour à André.
Bernard. —Ah ! C’est magnifique. L’odeur de l’herbe sèche… J’aime ce coin, j’ai des amis pas loin.
Paul. —Moi, ça me rappelle surtout que j’ai horreur du foin.
Séraphina. —Ce lieu est empli des énergies des générations passées… Je sens que les costumes viendront à moi naturellement.
Rose. —Je vous présente Séraphina, notre scénographe-costumière. Elle est aussi la sœur d’André.
On lui dit bonjour.
Eugène, filmant avec son téléphone, parlant pour la caméra. — »Immersion totale dans le décor champêtre… Authenticité garantie… (Il éternue.) Et allergènes offerts gracieusement par Dame Nature. » (Il met un masque.)
Brad. —J’adore ! J’adore ! J’adore ! Cette grange, cette campagne, ce foin, ces oiseaux, ces champs, ces vaches, ce blé, ce…
Anna, virevoltant entre les ballots de paille. —C’est clair, l’espace est grand, mais il faudra bien penser aux placements scéniques. (Heurtant Inge.) Oh pardon !
Inge. —C’est… très beau, mais… l’acoustique ?
Emmanuel. —On peut sans doute modéliser la résonance en fonction des angles des poutres… Quelqu’un a un rapporteur ?
Steve. —C’est si-z-inattendu, ce lieu. Je suis vraiment… étonnifié.
Barbara, surgissant d’on ne sait où. —Tu as fait bon voyage, mon poussin ?
Paul. —Maman ? Qu’est-ce que tu fais là ?
Barbara. —J’ai pris une chambre à la boulangerie du village. (Joignant le geste à la parole.) Tu veux une chouquette ?
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